Galerie du CROUS, mars 2020. À l'angle du mur de la galerie se trouve une impressionnante projection lumineuse. Elle se déploie en anamorphose et change de couleur incidemment. Son aspect de danse macabre clownesque impressionne, amuse, effraie un peu.
Au sol, se trouve une caisse contenant des matériaux de différentes natures.
Le spectateur est invité à jouer avec les différents supports, pour créer des effets lumineux, réinventer l'installation en se projetant physiquement dans l'oeuvre. Au mur, un texte écrit par l'auteur de l'installation : l'auteur donne le nom du compte instagram dédié à l'oeuvre. Il invite à envoyer les images créées par le dispositif.
Ce compte instagram montre la variété des propositions et induit une relation entre les spectateurs, qui deviennent artistes éphémères. Les spectateurs et l'auteur sont en lien direct par ce compte, qui devient le lieu numérique de l'oeuvre participative qui s'est jouée le 14 mars.